Septième rendez-vous du groupe Bataille le 13 mai 2018 pour assister à la projection du film Zelig de Woody Allen (1983) au Cinélux de Genève
Par Nicolas Joray (médiateur culturel) et Laure Gallegos (médiatrice culturelle)

Nous nous sommes donné rendez-vous le dimanche 13 mai 2018 à 11h devant le cinéma Cinélux de Genève. Malgré le froid et cette matinée pluvieuse, toutes les participantes du groupe étaient présentes. Une participante du parcours Pylade, venue expressément de Fribourg, nous a aussi rejoint pour cette projection.

Avant le commencement du film et en attendant les derniers arrivants, nous avons échangé sur plusieurs sujets. Toutes les participantes connaissaient le Cinélux et se réjouissaient de revenir dans ce lieu qu’elles appréciaient. L’affiche du film L’intelligence des arbres de Julia Dordel et GuidoTölke exposée à l’entrée a attiré notre attention. Trois de nos participantes avaient vu le film et l’avaient beaucoup aimé. Elles nous ont expliqué que les arbres seraient apparemment reliés les uns aux autres dans une sorte de large réseau qui leur permettrait de communiquer et de développer une solidarité entre eux. Une de nos participantes nous a avoué que ce film l’avait beaucoup touchée. « Ce film nous apprend des choses surprenantes sur la nature, la capacité à communiquer des arbres, c’est fantastique… on y croit ou on n’y croit pas, mais moi j’y crois! ». Nous avons ensuite discuté du changement climatique, de l’importance de préserver notre environnement, et du manque de prise de responsabilité de certains gouvernements.

Le film a duré un peu plus d’une heure, toutes les participantes ont apprécié ce film. L’une d’entre elle nous a avoué qu’elle n’aimait pas vraiment les films de Woody Allen mais que celui-ci lui avait beaucoup plu et qu’elle avait bien ri. Giovanna nous a dit « C’est fou, en réalité le thème central de cette histoire est celui de quelqu’un qui cherche à se faire aimer à tout prix! ». Une autre nous a dit qu’il était parfois difficile de suivre les images en même temps que de lire les sous-titres. Le groupe a trouvé que les images d’archives des années vingt-trente apportaient énormément au film. Nous avons discuté encore un petit quart d’heure sur la chaussée avant de nous dire au revoir.